Absurde

L’absurde est un genre théâtral qui, en France, a émergé dans les années 1950. Ce mouvement est souvent associé aux œuvres de Eugène Ionesco, Samuel Beckett et Harold Pinter, même si d’autres auteurs ont également contribué à son développement.

Le théâtre de l’absurde est caractérisé par une représentation de la condition humaine comme étant dénuée de sens. Réduits à des archétypes et dépourvus de toute profondeur psychologique, les personnages sont confrontés à des situations illogiques et inexplicables. Les personnages semblent avoir des difficultés à communiquer entre eux. L’action n’est pas sous-tendue par une structure narrative classique, les situations sont répétitives, et les dialogues sont le plus souvent décousus.

Ils ont rendez-vous sur une zone de crash pour rendre hommage à leur frère disparu. Mais que s’est-il passé vraiment ? Et qui sont-ils exactement ?

Un comédien au chômage, recruté par une banque en faillite, découvre qu’il a été engagé pour faire office de bouc émissaire. Mais le cauchemar ne fait que commencer…

Dans un futur où le suicide assisté a été remplacé par un recyclage volontaire, un homme et une femme, qui se sont rencontrés juste avant leur reconditionnement, réapparaissent au domicile très ordinaire du couple complètement obsolète qu’ils sont destinés à remplacer. Reste-t-il quelque chose de l’amour quand on a tout oublié ?

Un cadavre dans un sauna et une histoire de plagiat. Le Commissaire Navarin est chargé d’une enquête qui semble déboucher sur une affaire d’état. À moins que tout cela ne soit que du théâtre…

Un homme qui a perdu ses papiers à la suite d’un banal quiproquo, enquête pour retrouver son identité, avant de se résigner à devenir quelqu’un d’autre. Entre roman noir et fantastique, «Happy Dogs» est un récit à la première personne, tragiquement drôle, qui peut aussi être mis en scène comme un monologue théâtral.

Horizons

Une tragicomédie métaphysique de Jean-Pierre Martinez Dans un no man’s land aux allures de purgatoire, trois personnages, Ben, Dom et Max, se tiennent face à un horizon qu’ils scrutent sans comprendre où ils sont, ni qui ils sont. Ont-ils survécu à un crash aérien, sombré dans le coma, ou dérivent-ils dans l’espace aux confins d’un trou noir ? À travers leurs dialogues mêlant absurde, humour noir et vertige cosmique, ils explorent les limites de la conscience, du langage et de la mémoire. Tantôt drôles, tantôt philosophiques, leurs échanges révèlent la condition humaine dans ce qu’elle a de plus universel : la quête de sens face au mystère de l’existence. L’horizon devient alors métaphore de la vie, frontière mouvante entre le visible et l’invisible, la raison et l’inconnu. Ben incarne la raison et le besoin de comprendre, Dom le doute et la dérision, Max l’intuition et l’imaginaire : trois facettes d’une même conscience humaine confrontée à son effacement. À mesure que la pièce avance, leurs voix se confondent — comme si elles n’étaient que les fragments d’un seul esprit, à la frontière du néant. Entre science et métaphysique, théâtre de l’absurde et poésie cosmique, Horizons est une méditation tragicomique sur la mémoire, la mort, et la possibilité de renaître autrement — quelque part, de l’autre côté de l’horizon. Pièce à la fois limpide et vertigineuse, Horizons s’inscrit dans la tradition de l’absurde métaphysique, mais avec une modernité qui la distingue des œuvres de Beckett ou Ionesco. Ici, la réflexion ne tourne pas seulement autour du vide de l’existence, mais aussi autour de la science comme métaphore de l’inconnu.

Un couple vient d’acheter la maison de ses rêves, à un prix étonnamment bas. Qu’a-t-il bien pu se passer dans cette maison pour qu’elle n’ait pas trouvé preneur avant ? Les précédents propriétaires y sont morts dans des circonstances aussi dramatiques que mystérieuses… Un conte à rebours philosophique sur le destin tragicomique de l’humanité en général, et du couple en particulier.

Un couple vient d’acheter la maison de ses rêves, à un prix étonnamment bas. Qu’a-t-il bien pu se passer dans cette maison pour qu’elle n’ait pas trouvé preneur avant ? Les précédents propriétaires y sont morts dans des circonstances aussi dramatiques que mystérieuses… Un conte à rebours philosophique sur le destin tragicomique de l’humanité en général, et du couple en particulier.

Humour noir sur le thème de la mort. Comédie à sketchs (2 ou 3 personnages par saynète)

Humour absurde. Comédie à sketchs.

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