Nom de l’auteur/autrice :Minerve69

Le site Libre Théâtre a mis en ligne la quasi-totalité du théâtre d’Eugène Labiche. Les Editions La Comédiathèque publient quelques œuvres étonnantes, trop souvent méconnues.

Faribol, un musicien volage, avoue ses frasques dans son sommeil et révèle l’adresse de son prochain rendez-vous. Sa femme Alexandra, une Corse au caractère volcanique, décide de « pincer » son mari et se rend à la fameuse adresse. Elle le menace. Oeil pour œil, dent pour dent, coup de canif pour coup de canif : s’il la trompe, elle en fera de même. Un vaudeville musical d’Eugène Labiche et Marc-Michel dans lequel la femme mène la danse.

Le site Libre Théâtre a mis en ligne la quasi-totalité du théâtre d’Henry Becque. Les Editions La Comédiathèque publient quelques œuvres étonnantes, trop souvent méconnues.

Une exécution, Le Domino à quatre, Les Honnêtes Femmes, La Navette. Ces quatre courtes pièces proposent quelques scènes de vie dans la France de la fin du XIXe siècle. Henry Becque, le père de la « comédie rosse », situe l’action au guichet d’une gare de province (Une exécution), dans un café (Le Domino à quatre), chez une bourgeoise de province (Les Honnêtes Femmes) et dans le salon d’une femme entretenue à Paris (La Navette).

Les Corbeaux débute comme un vaudeville : nous sommes dans le salon d’un riche industriel entouré de ses enfants, alors que l’on prépare les fiançailles d’une de ses filles. La comédie tourne rapidement au drame réaliste lorsque le père de famille meurt brusquement. Associé, notaire et fournisseurs vont s’entendre pour ruiner cette famille candide et sans défense.

Michel Pauper, c’est l’histoire tragique d’un ouvrier chimiste autodidacte, devenu le patron respecté d’une fabrique et un scientifique de génie. Son amour éperdu pour une jeune aristocrate romantique et orgueilleuse sera le moteur de son ascension mais aussi la cause de sa déchéance. « Lorsque j’ai écrit Michel Pauper, j’ai rassemblé autour d’une intrigue romanesque tout ce que le socialisme d’alors comportait de revendications » écrit Henry Becque dans ses Souvenirs d’un auteur dramatique. Loin des caricatures sociales, la complexité des sentiments des personnages est explorée à travers une succession de scènes tendres ou cruelles.

Le site Libre Théâtre a mis en ligne la quasi-totalité du théâtre de Georges Feydeau. Les Editions La Comédiathèque publient quelques œuvres étonnantes, trop souvent méconnues.

Recueil de six pièces en un acte jouées pour la première fois entre 1898 et 1904 : L’Épidémie, Vieux Ménage, Le Portefeuille, Les Amants, Scrupules, Interview. Utilisant la parodie, la satire ou la farce, Octave Mirbeau propose une critique féroce de la société bourgeoise de son époque, qui trouve d’étranges résonances avec le monde d’aujourd’hui. La modernité de l’écriture et des thèmes abordés préfigure à la fois le théâtre de Brecht et celui de Ionesco, tout en développant un humour très corrosif.

Le baron Courtin, sénateur bonapartiste et académicien, est l’auteur de nombreux ouvrages sur la charité chrétienne. Il préside également un foyer charitable pour adolescentes. Mais plusieurs scandales le menacent : l’argent du Foyer a été détourné, la directrice sadique flagelle les pensionnaires, parfois sous le regard de vieux messieurs, et une fillette vient de décéder, oubliée dans un placard. Pour échapper à la prison et à la ruine, Courtin se résout à demander de l’aide à l’ancien amant de sa femme qui lui propose un marché. L’exploitation des enfants qui est dénoncée dans cette pièce, apparaît d’autant plus révoltante que la noirceur des principaux personnages est teintée d’une certaine humanité.

Le site Libre Théâtre a mis en ligne la quasi-totalité du théâtre de Georges Feydeau. Les Editions La Comédiathèque publient quelques œuvres étonnantes, trop souvent méconnues.

Cette comédie musicale en trois actes et neuf tableaux est une œuvre surprenante : si le voyage dans le temps est un thème récurrent dans les univers romanesque et cinématographique, il a été rarement exploré au théâtre. Georges Feydeau, en collaboration avec Maurice Desvallières, revisite avec humour l’histoire de France et imagine le Paris de l’an 2000, un futur fantasmé mais aussi à certains égards, visionnaire. Follentin, un fonctionnaire râleur de 1905, est projeté avec sa famille à l’époque de la Saint Barthélemy, puis à celle de Louis XV avant de découvrir le XXIème siècle, libertaire et technologique.

Monsieur et Madame Bichu veulent marier leur fille Finette, lycéenne de 17 ans, à Saboulot, son professeur de physique âgé de 47 ans. Mais Finette est amoureuse d’Apollon Bouvard, jeune peintre désargenté. Apollon et Finette vont tout faire pour empêcher ce mariage. La jeune fille est envoyée par ses parents dans un pensionnat, où elle organise la révolte de ses camarades lycéennes… Un vaudeville-opérette de Georges Feydeau, dans lequel les jeunes filles prennent les armes et refusent les mariages arrangés…

Le site Libre Théâtre a mis en ligne la quasi-totalité du théâtre de Tristan Bernard. Les Editions La Comédiathèque publient quelques œuvres étonnantes, trop souvent méconnues.

Auteurs, acteurs, spectateurs rassemble 46 chroniques consacrées au théâtre écrites par Tristan Bernard, initialement publiées à la une du quotidien culturel Comœdia entre octobre 1907 et juin 1909, et republiées cette même année sous ce titre par les Éditions Pierre Lafitte. À travers des souvenirs tantôt joyeux tantôt mélancoliques, Tristan Bernard nous dépeint dans ce recueil la vie théâtrale et l’atmosphère qui entourait les théâtres à Paris et en Province au début du XXème siècle. Avec ironie ou tendresse, il dresse dans ces articles le portrait des gens de théâtre de l’époque, en croquant une galerie de personnages singuliers et pittoresques.

Ecrite en 1911 par Tristan Bernard et Michel Corday, la comédie L’accord parfait propose une version moderne du triangle amoureux, multipliant les situations inattendues et les pieds de nez à la morale bourgeoise et hypocrite. Les arrangements entre le mari, la femme et l’amant sont présentés avec un grand naturel et une sensibilité délicate. L’ironie mordante de cette comédie de mœurs traverse les âges et séduit encore aujourd’hui.

Claude Brévin, un garçon sensible et de bonne famille est obligé de vivre d’expédients et fréquente le bar louche du père Tabac. Celui-ci le fait passer pour le « Costaud des Epinettes » et lui propose une affaire : il s’agit de récupérer un paquet de lettres compromettantes chez une comédienne, Irma Lurette, et de l’éliminer. Claude, désespéré par sa situation misérable, accepte. Il se rend à une fête, où on célèbre la centième de la pièce dans laquelle Irma joue. Claude la séduit et la reconduit chez elle. Mais une fois dans son appartement, rien ne se passe comme prévu.

Henri est un jeune homme très sympathique, de ressources modestes, dont la famille a fait faillite. Il participe à un mariage auquel il n’est pas invité. Il rencontre Berthe, une des amies de la mariée. C’est le coup de foudre.Tristan Bernard définissait ainsi la pièce : « Le Danseur inconnu, pièce morale à morale tournante, est aussi une pièce comique et sentimentale. Je souhaite qu’on dise qu’elle est franchement comique et délicatement sentimentale. »

Les « Deux Canards », ce sont deux petits journaux ennemis, créés en vue d’une campagne électorale. Venu dans la petite ville de Valmoutiers pour y retrouver Madeleine, la jolie fille du baron de Saint-Amour, avec laquelle il a dansé le tango, Montillac s’est laissé détourner de ce flirt par Léontine, l’exubérante épouse de l’imprimeur Béjun. Il devient sous le nom de Gélidon, le rédacteur en chef du « canard » radical, la Torche, qu’édite Béjun. La Torche doit servir les ambitions de la femme de Béjun qui veut faire de son mari le prochain maire de Valmoutiers. Il doit affronter le baron de Saint-Amour, chef du parti réactionnaire. Le baron de Saint-Amour achète le journal ennemi. Toute la rédaction suit le nouveau patron et se conforme à sa nouvelle politique, même Gélidon qui a retrouvé Madeleine et a senti se réveiller son amour pour elle. Mais Mme Béjun contre-attaque en fondant un autre organe, le Phare qui, lui, paraîtra le soir et auquel contribue également Gélidon. Montillac passe ses journées auprès de Madeleine, et écrit les articles de la Torche. Gélidon consacre ses nuits à Léontine et rédige les articles du Phare. La situation se tend entre les deux organes de presse et aboutit à un duel : Montillac et Gélidon doivent se rencontrer sur le terrain. Les témoins les prennent tour à tour l’un pour l’autre, et des amis se substituent à eux, à l’aide de lunettes d’automobile qui cachent leur visage. Au lieu de deux combattants, il y a bientôt trois adversaires en présence…

Le vicomte Robert de Houdan est surnommé par ses amis Triplepatte du nom d’un cheval de course qu’il possède et qui se dérobe toujours. Il lui est impossible de prendre la moindre décision et quand Boucherot, à qui il doit beaucoup d’argent, et la baronne Pépin, marieuse infatigable, organisent son mariage avec la gentille Yvonne Herbelier, il obtempère jusqu’au jour de la cérémonie… Triplepatte est la première « grande » pièce de Tristan Bernard comportant cinq actes. Elle est représentée pour la première fois au Théâtre de l’Athénée, le 30 novembre 1905 et rencontre un vif succès. Elle sera à l’affiche à Paris pendant plus d’un an, sera reprise régulièrement avec le même interprète (Marcel Levesque) et donnera même lieu à une adaptation cinématographique en 1922, réalisée par Raymond Bernard, le fils du dramaturge.

Thibaut et Thierry sont amis et se retrouvent à Deauville. Thierry est un séducteur d’une quarantaine d’années qui ne cesse de multiplier les conquêtes. Thibaut, qui est plus jeune, lui demande d’arranger ses affaires de cœur. Mais les choses tournent toujours de la façon la plus déplorable et le jeune perdreau est plumé par le braconnier malgré lui ! Trois actes, trois expériences semblables… Mais, une jeune fille intelligente et sincère, va rebattre les cartes de ces jeux amoureux.

Un perdreau de l’année de Tristan Bernard

Thibaut et Thierry sont amis et se retrouvent à Deauville. Thierry est un séducteur d’une quarantaine d’années qui ne cesse de multiplier les conquêtes. Thibaut, qui est plus jeune, lui demande d’arranger ses affaires de cœur. Mais les choses tournent toujours de la façon la plus déplorable et le jeune perdreau est plumé par le braconnier malgré lui ! Trois actes, trois expériences semblables… Mais, une jeune fille intelligente et sincère, va rebattre les cartes de ces jeux amoureux.

Comme Tristan Bernard le précise dans une note de la première édition de la pièce (et reproduite dans cette édition), l’idée première vient de son ami et collaborateur André Godfernaux, professeur de philosophie au collège de Saint-Germain. Tristan Bernard reprend et complète avec André Godfernaux les quatre actes initialement imaginés. André Godfernaux meurt prématurément de la grippe à 42 ans, en plein triomphe. La pièce reçoit un bon accueil critique. Nous avons sélectionné dans cette édition trois extraits d’articles consacrés à la pièce et publiés dans les jours suivant la première au Théâtre de l’Athénée.

La note de l’éditeur

Le texte intégral de la pièce est précédé des réactions de la critique lors de la création. Le crique du journal Le Temps écrivait notamment : « C’est un vaudeville traité dans le ton de la comédie la plus nuancée. L’intrigue se développe d’un mouvement mécanique, les personnages ont une conduite tout à fait improbable. Leurs propos cependant abondent en remarques justes, fines et spirituelles. Ce contraste-là fait précisément la meilleure qualité de la pièce et son attrait subtil… » Dans la revue Comœdia, on pouvait lire : « sous le dialogue le plus naturel et le plus aisé du monde, ce que nous aimons dans les pièces de Tristan Bernard, c’est sa souriante philosophie, sa sagesse narquoise, et cette expérience du cœur des hommes et des femmes grâce à laquelle des personnages, même dessinés d’un trait léger ou négligent, nous paraissent vrais et humains. »

Distribution :  4 hommes, 3 femmes

Ouvrage paru aux Editions La Comédiathèque
ISBN : 978-1728944142
Octobre 2018
Broché, 68 pages, 12,7 x 20,3 cm.
Prix TTC : 10,00 €

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Triplepatte de Tristan Bernard et André Godfernaux

Le vicomte Robert de Houdan est surnommé par ses amis Triplepatte du nom d’un cheval de course qu’il possède et qui se dérobe toujours. Il lui est impossible de prendre la moindre décision et quand Boucherot, à qui il doit beaucoup d’argent, et la baronne Pépin, marieuse infatigable, organisent son mariage avec la gentille Yvonne Herbelier, il obtempère jusqu’au jour de la cérémonie…

Triplepatte est la première « grande » pièce de Tristan Bernard comportant cinq actes. Elle est représentée pour la première fois au Théâtre de l’Athénée, le 30 novembre 1905 et rencontre un vif succès. Elle sera à l’affiche à Paris pendant plus d’un an, sera reprise régulièrement avec le même interprète (Marcel Levesque) et donnera même lieu à une adaptation cinématographique en 1922, réalisée par Raymond Bernard, le fils du dramaturge.

Comme Tristan Bernard le précise dans une note de la première édition de la pièce (et reproduite dans cette édition), l’idée première vient de son ami et collaborateur André Godfernaux, professeur de philosophie au collège de Saint-Germain. Tristan Bernard reprend et complète avec André Godfernaux les quatre actes initialement imaginés. André Godfernaux meurt prématurément de la grippe à 42 ans, en plein triomphe. La pièce reçoit un bon accueil critique. Nous avons sélectionné dans cette édition trois extraits d’articles consacrés à la pièce et publiés dans les jours suivant la première au Théâtre de l’Athénée.

Distribution :  15 hommes, 16 femmes

Ouvrage paru aux Editions La Comédiathèque
ISBN : 978-2-37705-495-4 
 Novembre 2020
Broché, 185 pages .
Prix TTC : 16,00 €

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Si jamais je te pince… d’Eugène Labiche et Marc-Michel

Faribol, un musicien volage, avoue ses frasques dans son sommeil et révèle l’adresse de son prochain rendez-vous. Sa femme Alexandra, une Corse au caractère volcanique, décide de « pincer » son mari et se rend à la fameuse adresse. Elle le menace. Oeil pour œil, dent pour dent, coup de canif pour coup de canif : s’il la trompe, elle en fera de même.

Un vaudeville musical d’Eugène Labiche et Marc-Michel dans lequel la femme mène la danse.

Distribution : 10 hommes, 3 femmes (plusieurs rôles peuvent être joués par un même comédien).

 

Ouvrage paru aux Editions La Comédiathèque
ISBN 978-237705-073-4
Janvier 2017
72 pages ; 18 x 12 cm ; broché.
Prix TTC : 9,90 €

 

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Monsieur Vernet de Jules Renard

Monsieur et Madame Vernet se prennent d’amitié pour un jeune artiste, Henri Gérard. La famille Vernet doit partir pour deux mois au bord de la mer et M. Vernet propose à Henri de les accompagner. L’entourage est conquis par ce beau jeune homme, qui s’éprend de Mme Vernet et lui déclare sa flamme.

En adaptant pour le théâtre son célèbre roman L’Écornifleur, Jules Renard met en scène dans cette comédie en deux actes des personnages ordinaires, mais sensibles. Entre humour et mélancolie, l’écriture, ramassée et précise, évoque avec subtilité les relations d’un couple.

Distribution : 3 hommes, 5 femmes

Ouvrage paru aux Editions La Comédiathèque
ISBN : 978-237705-084-0
Mars 2017
74 pages ; 18 x 12 cm ; broché.
Prix TTC : 9,90 €

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Molière de George Sand

La pièce de George Sand propose cinq moments de la vie de Molière, en insistant sur ses relations difficiles avec Armande Béjart.
« Je n’ai cherché à représenter que la vie intime, et où rien ne m’a intéressé que les combats intérieurs et les chagrins secrets. Existence romanesque et insouciante au début, laborieuse et tendre dans la seconde période, douloureuse et déchirée ensuite, calomniée et torturée à son déclin, et finissant par une mort profondément triste et solennelle. Un mot navrant, un mot historique résume cette vie près de s’éteindre : Mais, mon Dieu, qu’un homme souffre avant de pouvoir mourir ! » Extrait de la dédicace de George Sand à Alexandre Dumas.

Distribution : 11 hommes, 8 femmes (plusieurs rôles peuvent être joués par un même comédien).

Ouvrage paru aux Editions La Comédiathèque
ISBN 978-2-3770-5100-7 
Juillet 2017
100 pages ; 18 x 12 cm ; broché.
Prix TTC : 13,00 €

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